- Petit appétit

Ne voyez aucun rapport avec l'actualité, mais il est des valeurs en lesquelles les corbeaux croient assez.
Contrairement à l'homme politique qui n'a pas de valeur de gauche et qui n'a pas de valeur de droite et donc se sent triste.
Il se trouve dans un drôle d'état, se demandant pourquoi, à l'époque des ordinateurs on écrit encore les lois avec des craies ? Peut-être pour payer des dessous de table au noir, à ceux qui déplument, qui dérèglent, qui dégomment, qui détroussent pour que leur maître décolle! Et chaque fois qu'un homme politique décolle, les autres l'évitent. Ce qui fait dire aux gens :
- Ils n'ont plus les pieds sur terre, ils ne font pas le poids ! Mais eux ils s'entêtent, comme des royalistes ils s'entêtent.
Car les royalistes se sont entêtés. C'est pour cela que la France a été gouvernée par des rois mais jamais par des reines, car le jour où vous verrez une femme sans tété, à mon avis, ce ne sera pas sain.
La femme a toutefois un point commun avec la politique, à savoir que lorsqu'elle nous mène en bateau c'est difficile de la raisonner.
Même si c'est une question d'abord d'âge surtout quand la femme se demande à quoi ou à qui son corps sert ? Car l'âge laisse sur le carreau.
Ainsi, celles qui ont beaucoup voyagé, qui ont traversé les terres arides, et qui ont gravi tous les sommets, se souviennent avec nostalgie de leurs corps d'hier.
Le corps est-ce pondre ? Se questionnent les vieilles cocottes.
Celles qui ont fait des cocus peuvent-elles encore voir leurs corps nus ?
Et, à propos de cornes, que dire de la femme du matador qui fît une dépression quand son corps rida ?
Et c'est avec la gorge nouée qu'elles constatent que tout est une question encore d'âge.
Tenez ! Avec ma femme ont a voulu jouer aux pirates mais maintenant on est grillés.
D'ailleurs ce qui grille souvent l'homme politique, c'est sa femme. Enfin pas sa femme en tant que telle, mais plutôt son prénom.
On se souvient de la célèbre phrase d'Onasis qui a dit :
- J'eus l'Amérique à mes pieds le jour ou j'acquis Kennedy. ( C'est un blague à deux balles comme dirait Jeff...)
Lorsqu'on a demandé à Bill Clinton ce qu'il pensait de l'action politique de sa femme, il a ri.
En France, avant l'élection présidentielle on s'est dit : "le souci c'est s'il y a Sarkozy", car là il y avait danger.
M. Sarkozy qui, justement à cause des femmes, s'engagea très tôt dans une politique écologiste musulmamo libérale qui remonte au jour où le petit Nicolas Hulot Allah Bush.
C'est sûrement pour ça que certains verts (de rage) auraient bien aimé lui filer la Voynet.
Il y a aussi des femmes politiques que l'on montre du doigt mais qui savent faire alliance avec leurs hommes. Quand elles sont désarmées elles s'allient aux maris. Et ce n'est pas un hasard si le compagnon de Mme Alliot-Marie s'appelle M. Ollier. Voilà comment on crée un mouvement pour la France en ayant deux vies liées.
De plus, vous savez que le surnom de Madame Michelle Alliot-Marie est MAM. Alors si un jour, en France, comme gouvernante on a MAM tout sera plus propre. Et si elle écrit son programme et qu'on lit MAM, il risque d'y avoir comme un schisme dans la population.
Enfin, parmi les femmes politiques, il est vrai que certaines manquent d'élégance quand elles sont un peu vieilles, c'est pourquoi elles se dissimulent sous leurs appâts rances. Par exemple, les anglais ont eu Mme Tas d' chair. Avec elle, comme le disent nos amis British c'était tout moche.
Nous on a Mme Buffet qui n'est pas commode mais qui reste la meilleure pour meubler la conversation.